Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épisode 9 : Un Nouveau Samedi)

Ce matin-là, Bob ne vit pas sa dulcinée. La belle était déjà en cours de conduite avec Bruno. Les deux tourtereaux avaient convenu de se voir dans le courant de l’après-midi, comme chaque samedi. La veille, Virginie lui avait annoncé que Bruno la draguait ouvertement et qu’il sortait même son sexe devant elle alors qu’elle conduisait. Bob en fut choqué. Il aurait pu défendre à sa dulcinée de continuer de voir Bruno mais il ne le fit pas. La belle prit cela comme une approbation de la part de Bob. « Si Bob ne dit rien, c’est qu’il est d’accord ! » pensa-t-elle.

Dans l’habitacle de la voiture, Bruno complimenta de nouveau Virginie sur sa tenue. La belle s’était faite encore plus belle et plus sexy que la dernière fois. Elle avait revêtu une robe bleue marine moulante et ouverte dans le dos que Bob lui avait offerte un an plus tôt pour la Saint-Valentin.

Bruno demanda à Virginie de prend la route du village. La belle ne se fit pas prier :
- « Je vois où tu veux m’emmener ! » répondit la belle avec espièglerie.

Nono était un homme attirant envers les femmes. Virginie n’était pas sa première. L’homme semblait même être un habitué des lieux. En emmenant Virginie dans un endroit discret où il n’y avait jamais personne, il savait parfaitement ce qu’il faisait et ce qu’il voulait. La Belle, en revanche, ne se doutait pas encore des intentions de Bruno. Bob les connaissait encore moins. Sur le parking, après s’être garé, Bruno demanda à Virginie de couper le contact du véhicule.
- « Viens, je vais te montrer le moteur ! » précisa-t-il à Virginie.
L’homme sortit du véhicule. Virginie le suivit. Devant le capot, elle regarda Nono soulever le capot, le corps et les bras tendus. La belle était admirative.
- « Tiens, regarde ! ça, c’est pour contrôler le niveau d’huile et ça c’est la courroie de distribution. Si ça casse, c’est mort, le véhicule est foutu ! » précisa l’homme à la belle.

Virginie écoutait Nono en buvant ses paroles. Ce dernier se concentrait sur le moteur. La vue de ma belle à côté de lui, en tenue légère et sexy le troublait néanmoins de plus en plus. Nono laissa Virginie se pencher pour regarder le moteur. Le corps de la fille était majestueux. Bruno vit les courbes de sa taille et de ses hanches. Il regarda brusquement la croupe de ma belle et se plaqua directement derrière elle, en la collant au plus près :
- « Si tu veux, je peux t’en montrer plus ! » précisa Bruno avec quelques idées derrière la tête.
La Belle sentit entre ses fesses comme un énorme bâton venu là s’intercaler comme par erreur. Virginie savait ce que c’était. Elle se retourna en essayant de se dégager de son ravisseur :
- « Coquin ! je te vois venir, toi ! »

Bruno fit comme si de rien n’était et enchaîna la conversation sur la mécanique du véhicule en montrant du doigt les points névralgiques du moteur :
- Tiens, ça, c’est le filtre à air et ça c’est le bouchon pour mettre de l’huile. Là, il y a le liquide de refroidissement et là c’est pour le lave-vitre !

Virginie suivait chaque geste de Bruno. Elle semblait comme happée par ses explications, qu’elle trouvait fort intéressantes. La leçon de mécanique terminée, Nono invita la belle à revenir dans l’habitacle. L’homme procéda à quelques dernières vérifications puis remonta dans le véhicule, à côté de ma belle.
- « Tout est bon ! », dit-il à Virginie en rentrant dans le véhicule.

Virginie regardait Bruno avec un grand sourire en observant tous ses faits et gestes. Elle se demandait quand est-ce qu’un grand gaillard comme lui allait passer à l’action. Sans plus attendre, Nono s’approcha de la belle et l’embrassa avec fouge et passion. La belle lui répondit en offrant sa bouche, heureuse. Leurs langues se mélangèrent. Bruno attrapa Virginie par les cheveux. Son désir était intense. La belle posa ses mains sur le torse de Bruno. L’homme retira aussitôt son T-shirt. Il était, beau, musclé. Il avait l’air d’un dieu.

A suivre…